L’histoire qui a changé ma vision de l’autoédition…

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MailyBlog 205 - L’histoire qui a changé ma vision de l’autoédition… ou comment vendre un livre facilement

L’histoire qui a changé ma vision de l’autoédition… ou comment vendre un livre facilement ?

MailyBlog #205

Olà Fourmiz !

Tu le sais, je suis un grand fan de développement personnel !

Ne jamais cesser de se former, c’est la clef du succès…

Beaucoup arrêtent de se former une fois les études finies.

C’est la plus grosse erreur qu’ils puissent faire dans la vie.

Mais si tu es abonné à mes emails, c'est que tu te formes !

Bravo !

Personnellement, je passe beaucoup de temps à me former de manière gratuite ou payante, sur YT, sur les blogs, dans les livres, les formations en ligne, etc…

C’est en lisant un passage du livre Père riche, père pauvre de Robert Kiyosaki que j’ai compris que je faisais fausse route et que je risquais de finir comme tous les autres auteurs en difficulté si je ne me formais pas rapidement pour acquérir cette compétence indispensable :

SAVOIR VENDRE !

C’est aussi ça qui m’a fait comprendre la différence entre l’auteur « artiste » et  l’auteur « artisan ».

Entre celui qui sait vendre et celui qui restera probablement inconnu à cause de sa mentalité « anti-vente, anti-argent ».

Ce livre m’a coûté 22€, mais il est déjà remboursé grâce à la prise de consciences que j’ai eues après la lecture de ce passage extraordinaire de Père riche, père pauvre il y a un an.

Je ne sais pas si j’ai vraiment le droit de te copier un passage entier du livre comme ça…

Mais je prends la liberté, car je pense que cette tranche de vie peut changer ta carrière d’auteur :

 

« Quelques années plus tard, j’ai accordé une interview à un journal de Singapour. La jeune journaliste arriva à l’heure exacte et l’interview commença immédiatement. Nous nous assîmes dans le hall d’un luxueux hôtel, buvant un café tout en discutant du but de ma visite à Singapour. Je devais partager la même tribune que Zig Ziglar. Il parlerait de motivation tandis que je causerais des « Secrets des riches ».

— Un jour, j’aimerais être une auteure à succès comme vous, dit-elle.

J’avais parcouru certains des articles qu’elle avait écrits pour le journal, et j’étais impressionné. Son style d’écriture était clair et lucide. Ses articles retenaient l’intérêt du lecteur.

— Vous avez  un style formidable, lui dis-je. Qu’est-ce qui vous empêche de réaliser votre rêve ?

— Mon travail semble mener nulle part, dit-elle doucement. Tous disent que mes romans sont excellents, mais rien ne se produit. Voilà pourquoi je garde mon emploi au journal. Cela paie au moins les factures. Avez-vous une suggestion quelconque ?

— Oui, j’en ai une, dis-je d’un ton animé. Un de mes amis dirige une école de formation dans la vente ici à Singapour, et je pense que cela pourrait grandement aider votre carrière de suivre un de ces cours.

Elle se raidit :

— Êtes-vous en train de dire que je devrais aller à l’école pour apprendre comment vendre ?

Je fis signe que oui.

— Vous n’êtes pas sérieux, n’est-ce pas ?

Je fis de nouveau un signe de tête affirmatif.

— Pourquoi ma suggestion vous déplaît-elle ?

Je cherchais maintenant une façon élégante de m’en sortir. Quelque chose l’avait offensée et je souhaitais à présent n’avoir rien dit. Dans ma tentative d’être utile, je me retrouvais en train de défendre ma suggestion.

 — J’ai une maîtrise en littérature. Pourquoi devrais-je fréquenter une école pour y apprendre à devenir une vendeuse ? Je suis une professionnelle. Je suis allée à l’école pour acquérir une formation dans une profession précise dans le but de justement ne pas être vendeuse. Je déteste les vendeurs. Ils ne pensent qu’à l’argent. Dites-moi donc pourquoi je devrais étudier dans le domaine de la vente ?

Elle était en train de ranger bruyamment des dossiers dans son porte-documents. L’interview était terminée.

Un exemplaire de mon premier livre gisait sur une petite table. Je m’en saisis ainsi que de son bloc-notes sur lequel elle avait des annotations.

— Voyez-vous cela ? lui dis-je en montrant du doigt son bloc-notes.

Elle jeta un coup d’œil sur ses notes.

— Quoi ? dit-elle confuse.

Une fois de plus, je désignai du doigt ses annotations. Sur son bloc-notes, elle avait écrit : « Robert Kiyosaki, auteur à succès ».

— Vous avez écrit auteur à succès, et non pas un écrivain auteur à succès.

Ses yeux s’écarquillèrent soudain.

— Je suis un écrivain déplorable. Vous êtes une fantastique écrivaine. J’ai fréquenté une école pour apprendre comment vendre. Vous avez une maîtrise en littérature. Réunissons ces deux cordes à nos arcs et nous obtenons un « auteur à succès » et «  une écrivaine auteur à succès ».

Un éclat de colère s’alluma dans ses yeux.

—Je ne m’abaisserai jamais jusqu’à apprendre comment vendre. Les gens comme vous n’ont pas leur place dans le domaine de l’écriture ? Je suis une écrivaine avec une formation professionnelle et vous êtes un vendeur. Ce n’est pas juste.

Elle était furieuse. Elle rangea le reste de ses notes et se dirigea rapidement vers de grandes portes vitrées avant de se retrouver soudainement dans l’air  humide et matinal de Singapour.

Le monde est rempli de gens intelligents, talentueux, instruits et très doués. Nous les croisons tous les jours. Ils sont partout autour de nous.

La triste vérité est la suivante : posséder un grand talent ne suffit pas.

Une compétence une seule les sépare de la grande richesse... »

Tu te retrouves probablement dans cette histoire et tu t’identifies facilement à cette journaliste… n’est-ce pas ?

C’était mon cas avant que j’ouvre les yeux…

La vérité est amère, mais ceux qui sont dans le top 100 Kindle ne sont pas les écrivains les plus talentueux.

Ce sont ceux qui savent comprendre les besoins de leurs lecteurs et leur vendre ce qu’ils attendent.

Il suffit de se balader sur Amazon pour le constater, le top 100 est inondé de romances Young Adultes qui ne gagneront jamais le Goncourt !

Mais je suis certain que tu as du talent et que tu sais écrire aussi bien que cette journaliste.

Si tu as déjà écrit un ou plusieurs livres, mais que tu n’en vis pas encore, cesse de te former à l’écriture pour un temps et forme-toi pour acquérir les deux compétences nécessaires à toute entreprise :

  • Trouver des clients
  • Vendre un produit

Si tu veux vivre de ta plume, n’oublie pas une chose, ton nom de plume est une marque et tes livres sont les produits de ton entreprise !

Et pour qu’une entreprise fonctionne, il faut investir !

Alors, n’hésite pas à te payer une formation ou des livres sur la vente, le copywriting, le marketing, la publicité…  comme le conseil Robert Kiyosaki dans son livre.

Ne t’inquiète pas pour ton âme d’artiste comme cette journaliste, l’art et la vente ne sont pas incompatibles !

Au contraire…

Quoi de plus normal que de souhaiter vivre de sa passion ?

Ce qui est génial, c’est que beaucoup d’auteurs ont publié un livre, beaucoup d’autres vont en publier, mais une minorité va prendre le temps de se former à la vente…

C’est là que tu peux faire la différence !

 

À demain,

Ethan

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Laurence VARAINE-JARNAC

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Ethan